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  • Photo du rédacteurJerome Puech

Sam Smith: une voix, une garde-robe !


L'artiste anglais Sam Smith s'est produit sur la scène des arènes de Nîmes ce lundi 10 juillet en marquant les esprits par sa voix unique et ses tenues excentriques.



Température: 30 degrés. Arènes pas tout à fait pleine. Dans le droit fil de la marche des fiertés qui s'est déroulée samedi 8 juillet dans les rues de Nîmes, le festival de Nîmes recevait Sam Smith, un artiste anglais incroyable par sa voix, sa mise en scène et ses tenues excentriques. Mais avant, les nîmois ont eu droit au DJ "made in local" avec Julien Facchinetti, stressé comme jamais au bout de ses doigts. FAK a assuré et a chauffé idéalement le dance-floor avec notamment un joli clin d'oeil à DJ Mathias Veyrunes, alias MADS qui était sur la scène l'année dernière, avec son titre "The Crystal Soul" (Voir le reportage consacré au duo). Voici la réaction de ce dernier.


Une mise en scène incroyable



Il ne fallait pas arriver en retard car le show a commencé tôt vers 21h30 alors que la nuit n'était pas encore tombée. Du coup, l'arrière scène était assez moche sans un rideau noir. Sam Smith a rapidement envouté son public en commençant par "Stay with me". Beaucoup de Stan Smith au pied dans les gradins et sur le dance-floor pour danser en rythme avec l'interprète anglais, ses 3 choristes et ses 6 danseurs endiablés. Ne connaissant que trois titres, j'ai aimé la mise en scène et surtout les tenues excentriques de Sam Smith. Nous étions entre Elton John et Liberace. Le public s'est enflammé en écoutant "Promises".



Le tube était en tête des morceaux de l'été 2021. Puis "Latch" avec Disclosure (2021) a aussi réveillé ma mémoire de musicologue.




Une discothèque à ciel ouvert



La fin du concert s'est progressivement transformé en véritable discothèque à ciel ouvert. Ma femme et ses deux amies se sont dépensées trois fois plus que lors des soldes de chez Zara ou de la Coupole des halles. Conquises ! Autour d'elle, des femmes, des hommes, des personnes qui n'avaient pas peur d'exprimer ce qu'ils ou elles étaient comme pour répondre à l'invitation de l'artiste complètement décomplexé dans sa façon de chanter et d'être sur scène.



Sa tenue en diable a électrisé le public debout sur les derniers morceaux et en particulier sur "Writing's on the wall". Quelle frustration de voir le show se terminer aussi tôt vers 23h15. Mais pourquoi ? Décalage horaire avec l'Angleterre ? Bref, le concert est passé bien trop vite, signe qu'il était très apprécié et appréciable.


Jérôme Puech

Une à Nîmes

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